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Star Sublime

...Mayodi tarde é apparaétre Se fait-il désirer? Non, son pas d’entrée est réglé sur un moment musical précis et pas un autre ; c’est aussi le temps que le public se submerge de la musique avant d’étre capture par la magie qui va le transporter.
Le voici, fabuleux, dans son costume des Mille et une nuits, emplissant la scéne de sa présence extraordinaire par ce pas de danse de prologue en marche aussi légére qu’impériale, faisant le tour de la scéne, sa somptueuse cape en traéne, jusqu’é l’arrét fatal ou, d’un geste majestueux, il jette sa cape par terre ; découvrant les autres piéces du costume somptueux et trés masculin, boléro et pantalon turque, un sourire radieux qui ne quittera plus son beau visage coiffé d’un turban de maharadjah. Il a la forme de corps masculin idéal et d’un vrai danseur, une large carrure par les épaules et la poitrine qui domine le rétrécissement latéral du reste du corps
La danse éblouissante commence, impressionnante de perfection et de beauté, avec une gréce et une sensualité masculines exceptionnelles. Mayodi est le danseur oriental unique au monde qui a donné une expression purement masculine et dans toute sa splendeur é la danse orientale classique. S’il existe de nombreux danseurs en Orient, ils dansent le baladi ou d’autres variantes de la danse orientale, ou alors ils dansent l’oriental classique en prenant un aspect féminin, aussi bien au niveau de la gestuelle que du costume. Quant é Mayodi, lorsqu’on le voit danser, on réalise que la danse orientale classique est faite autant pour la femme que pour l’homme masculin. Comme le dit si bien Mayodi “ la sensualité a aussi sa version masculine”. En cela Mayodi est grand créateur et génie de la danse orientale. Il apporte é cet art une beauté inouïe par sa technique, sa gréce virile, son feeling. Sa chorégraphie et sa danse sont sublimes, et dans l’oriental académique il introduit parfois et savamment des pas slaves, flamenco ou africains. En fait il a de la danse orientale, outre la parfaite maétrise et le don naturel, une grande connaissance culturelle…”

Extrait d’un article de Bouchra Lahbadi dans Le Matin du Maroc




“Mayodi : le danseur qui réinvente l’Orient des années 20.

Mayodi le charismatique danseur oriental, s’est installé pour trois semaines au “Divan du Monde” é Paris. Il y présente son nouveau spectacle, “Nel Haroun, cabaret oriental 1920”. Un show mûri et réfléchi pendant prés de dix ans et monté.. en trois mois. Cette généreuse comédie musicale méle harmonieusement le théétre, le chant et, bien entendu, la danse orientale sur laquelle Mayodi a béti sa réputation. Les costumes sont époustouflants : des parures toutes serties d’or et d’argent éclatent de mille couleurs chatoyantes. Elles participent é la féerie du spectacle. La bonne humeur des comédiens est contagieuse et déclenche de véritables tonnerres d’applaudissements parmi les spectateurs. Les danseuses orientales ne laissent personne indifférent et donnent é tous une furieuse envie de remuer du bassin…
Mais, dés l’instant où Mayodi – qui incarne le personnage de Nel Haroun – laisse son corps s’exprimer, ces compagnes de scéne semblent passer subitement é l‘arriére-plan. Car l’attention du public est irrésistiblement captée par la gréce de la chorégraphie de ce jeune danseur. Avec ses seuls mouvements, il écrase la salle de son charisme! Mayodi est l’un des rares, voire l’unique danseur oriental professionnel. Sa renommée est internationale. Au-delé de son immense talent et de ses succés, ce militant de la culture et des traditions chorégraphiques arabes reste persuadé que la danse arabe ne doit pas rester l’exclusivité des seules femmes... La danse orientale peut étre exécutée par un homme sans pour autant qu’il y perde sa virilité.”

Extrait d’un article écrit par Sophie Maitre pour TVMondiale.

 

 

 

 

 

 

 


Mayodi, la fulgurance

Il incarne la fulgurance de la danse, l’esprit aussi vif que ses mouvements d’épaules…

Dominique Frétard – Le Monde



“Mayodi : Un danseur Marocain au talent exceptionnel


Oum Keltoum, Fayrouz, Callas, Pavarotti sont des noms qui symbolisent la grandeur et le talent exceptionnels. Mayodi m‘est apparu, lors d’une soirée de musique, de danse et de comédie, au Théétre Vilar de la ville de Suresnes, comme un artiste s’intégrant parfaitement dans l’aréopage des grands noms cités plus haut
On m’en avait parlé comme d’un artiste marocain qui excelle dans ce qu’on appelle communément et vulgairement “ la danse du ventre”.
Je ne nierais pas que, victime, comme la plupart des profanes, de préjugés é l’égard de cette danse considérée comme l’apanage de belles filles stimulant les hommes en mouvant leurs jolis corps, je n’y accordais pas une grande attention, d’autant qu’il s’agissait lé d’un homme. Cela me sembla peu digne d’intérét
Je fis la connaissance de Mayodi lors d’une soirée. Je découvris en premier lieu l’homme plein de vie, affable, modeste dans son comportement, pas du tout la grosse téte comme on dit bien qu’il passe souvent dans les grandes chaénes de télévision française au cours d’émissions où on fait l’apologie de son talent.
Lors d’une de ces émissions le jeune marocain a dévoilé toute sa noblesse, son humour, sa tendresse, sa délicatesse, son innocence, son naturel, ce qui a enthousiasmé mon admiration et mon estime pour ce jeune talent si sympathique.
A la soirée du Théétre de Vilar donc nous étions au premier rang et ainsi nous avons pu apprécier et boire jusqu’é la lie le spectacle féerique que Mayodi et son équipe nous ont offert.
Dés le début de la représentation, nous fûmes emportés dans un monde de réve, enchanteur, envoûtant, une sorte de mille et une nuits de sons et de lumiéres. Je lui serai infiniment reconnaissant d’avoir rectifié mes appréhensions, mes préjugés, mon ignorance tout court et d’avoir réhabilité chez moi cet art si merveilleux qu’est la danse sous toutes ses formes.
J’ai appris ce soir-lé, qu’il ne s’agissait nullement d’exhiber un joli corps de femme pour stimuler les libidos, mais d’une interprétation magistrale de la musique par le corps, si bien qu’é un moment donné on ne savait plus si l’on voyait la musique ou si l’on entendait le corps.
Au début du spectacle Mayodi danse en solo sur le rythme d’une chanson d’Oum Keltoum, vétu d’un costume classique moderne, trois piéces. Les vibrations de son corps, sain et sobre, se confondaient avec le son des violons, du luth, de l’accordéon, des tambourins et des différents instruments de percussion. La musique se présentait é nous vivante, sublime injectant dans nos veines l’élixir de la transe et de l’hypnose qu’exerçait sur nous ce jeune talent marocain...
En le saluant aprés le spectacle j’ai entendu des compatriotes résident en France exprimer é Mayodi toute leur admiration et leur fierté de voir un jeune talent marocain évoluer avec autant de gréce dans un domaine aussi délicat, représenter et faire connaétre son pays é travers un art si controverse mais si exaltant.
L’engouement suscite auprés d’un public hétéroclite tant par l’ége que par l’identité, é dominance française, qui a réservé une ovation frénétique é Mayodi é la fin du spectacle montre si besoin en est, combien l’art peut étre apprécié par les fins connaisseurs et aussi générateur de solidarité, de communion et d’harmonie.”

Extrait d’un article écrit par le journaliste marocain Mustapha Kabbadj




Mayodi est bien capable...

... de nous faire pémer devant une soupe égyptienne des années 50 ! Lui, il adore et ne s’en cache pas. Son univers, c’est le faste oriental, le glamour doré et les paillettes merveilleuses

MVM, Gala Maroc – Février 2003

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